samedi 1 mars 2014

Février 2014



En Belgique, quand il fait gris, c'est que les nuances s'amoncellent.

Les déménageurs en font souvent des caisses.
 
Il lui avait mis la main aux burnes sans prévenir, ce fut une première pression à froid.
 
Parle pas à ma tête, mon QI est malade.
 
Dans le monde du spectacle, il y a beaucoup de show métiers.
 
Il méprise la situation.
 
Même les gens droits ont parfois envie de biaiser.
 
Et Dieu dit à ses représentants : Tu attoucheras dans la douleur!
 
Rater un concours de circonstances n'est jamais le fruit du hasard.
 
Les amoureux ont souvent les chevets en bataille.
 
Un proxénète, c'est un prosti-tueur.
 
Parfois, retirer ses lunettes, ça fait un bien flou.
 
Les idées arrêtées ne vont jamais bien loin.
 
Arte annonce une télé-réalité philosophique, ça s'appellera "Socrate Story".
 
Mes parents se sont connus chez Peugeot, ils étaient ensemble à la chaîne et à la ville.
 
On nous gouberne.
 
Accordéons nos violons.
 
Etre insomniaque, c'est tenir la nuit à l'œil.
 
Les hommes sont souvent au bord de la crise de mère.
 
Chez le dentiste, c'est parfois aïe pour aïe, dent pour dent.
 
L'injustice, c'est de la semence de furieux.
 
Un silence de mort qui s'éternise, c'est une plombe funèbre.
 
Les SDF amoureux se disent 'J'ai envie de toit'.
 
Etre trop bon, c'est acheter la miséricorde pour se pendre.
 
Cléôpatre fanpharaonnait.
 
Une rage de dents, c'est une protest dentaire.
 
Elections, le compte-à-rebourrage de crâne commence.
 
Certains mots, il faut les suçoter.
 
Même les Chinois sont fabriqués en Chine.
 
Un origami, c'est un ami qui se plie en 4 pour t'aider.
 
C'est un type violent, il cogne pour un oui pour un gnon.
 
100 fois tu remettras l'ouvrage sur le merdier.
 
Les amants prolixes ne savourent jamais vaincus.
 
La machine à café, c'est le thermos statique.
 
Demain, c'est la grande finale du badinage artistique.
 
Mots doux et bouche cousue.
 
On ne saura jamais qui fut le premier du veuf ou de la poule.
 
Il n'est pas beau, mais a une gueule dense.
 
Après les élections, tous les espoirs sont ternis.
 
Un seul être vous marque et tout est décuplé.
Sa réushit, il la devait au cannabis.
 
Un déni de grossesse, c'est fœtus et bouche cousue.
 
On entend voler les moches.
 
Mon chant n'a fait qu'un tour.
 
Même quand il ne se passe rien, certains médias ont toujours du sordide de secours.
 
Un jour, elle en a eu assez. Elle a mis 'A vendre' sur sa maison, 'A pendre' sur son mari, 'A rendre' sur ses enfants.
 
Quand on est aveugle, on vend ses Miro.
 
Dans certains couples, il est un moment où l'on entre en cocurrence.
 
Sans adoucisseur, on vit d'amour et d'eau rêche.