La culture, c'est penser et changer. La consommation, c'est changer et dépenser.
Je suis biodégradé.
Après la pluie, le Bhoutan.
Faudrait voir à ne pas se perdre de vue.
Une petite main, c'est un second couteau, un troisième zône, un quatrième mousquetaire, la cinquième roue de la charrette.
Aujourd'hui, les canards, c'est un peu le café du coin-coin du commerce.
Il arrive qu'on ait le coeur en chamaille.
Après chaque repas, le petit Maurice faisait des beaux, laids rots.
Une ressemblance fortuite, ce n'est pas neuf.
Le travail, c'est s'absenter.
Je suis le grand méchant mou.
La vérité nue est parfois dénudée de sens.
Il faut soigner le mal par le mal, mais il faut laisser le temps au temps. Morale du bazar : je n'aurais pas du commander ce 4e vin blanc.
Si un momentum, c'est un homme qui arrive au bon moment, un rectum c'est un homme droit.
Sur les réseaux sociaux, il arrive que l'on déterre la hashtag de guerre.
Avec cet embargo, il n'y en a plus que pour les producteurs de pommes et de poires... et les scoubidous hein, les producteurs de scoubidous???
- Alors, il a dit quoi le médecin?
... C'est un cancer du sein...
- Ah ça, quand on n'a pas de cerveau...
Quand j'ai très soif, je fais souvent avec les moyens du bar.
Quand on boit du petit lait en lisant un texte, c'est qu'on le lit d'une traite.
Les poissons font des rots dans l'eau.
Le 11 c'est ambre.
La cafetière au grain de café : Va te faire moudre!
Demiurge n'a jamais été vraiment pressé.
Elle refusait les offres de mariage à la va que je te repousse.
Il faut être poétiquement incorrect.
Le paradis est pavé de mauvaises intentions.
Le stomatologue en avait gros sur la patate.
Je suis un coquin light, mais pas un coquin zéro.
Elle lui proposa de dormir chez elle, il refusa. Ce fut un non à coucher dehors.
On peut déplaire à tout le monde et c'est plus simple.
Être livré à soi-même entraine-t-il des frais de port ?
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